Violences
Un mort par balles à Marseille, un blessé grave à Villeurbanne (qui mourra le lendemain), un jeune épris de justice assassiné en pleine rue à Paris, tel est le bilan courant d'une journée ordinaire en notre beau pays de France. Que dire de tous les endroits du monde où règne la guerre ? Faut-il aborder la question de la Syrie, dont le peuple disparait peu à peu dans l'indifférence du monde occidental, au prétexte de maintenir des équilibres politiques indispensables ? Serait-il nécessaire de parler des quarante conflits dans le monde, où règnent la violence et la négation des plus élémentaires droits de l'homme, et surtout des enfants ? C'est un lieu commun, bien banal, de se dire inquiet et révolté de cette accumulation d'injustices, de partialités et d'inéquités. Cependant, prenons garde de nous arrêter de dénoncer la poursuite de ces situations, ne cessons surtout pas d'imposer plus de fraternité, plus de solidarité, plus d'amour les uns pour les autres. Là réside sans aucun doute la seule solution pour que notre monde s'améliore petit à petit, et pour que nous transmettions à nos enfants un espoir de vie heureuse, et en tous cas ouverte sur les autres...
Juin 2013
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